Cette visite dans le nord du XVIe arrondissement est l’occasion de tisser des liens entre Hector Guimard et Auguste Perret en mettant à l’honneur ce dernier, dans un parcours marqué par trois de ses chefs-d’œuvre : le Théâtre des Champs-Élysées, le Palais d’Iéna et l’immeuble du 25 bis Rue Franklin.
Au fil de ce parcours, nous rencontrerons d’autres contemporains d’Hector Guimard et à travers leurs constructions, constaterons la richesse de l’architecture moderne jusque dans l’entre-deux-guerres. Nous comparerons cette modernité florissante, marquée par l’Art Déco, aux bâtiments remarquables de l’éclectisme ou de l’Art Nouveau, situés dans les environs.
A 14h30.
Pour réserver :
Découvrez ou redécouvrez l’architecture d’Hector Guimard avec notre visite guidée dans le nord du quartier d’Auteuil.
Toutes ces étapes seront commentées et pour la majorité d’entre elles des images anciennes et des plans seront montrés aux participants.
https://www.lecercleguimard.fr/HG/events/visite-du-nord-du-quartier-dauteuil-samedi-11-fevrier-2017/
Vous pouvez réserver 4 places maximum. Le tarif adhérent est appliqué uniquement aux adhérents, pas aux personnes les accompagnant.
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C’est un compagnon de la première heure du Cercle Guimard qui s’en est allé le 26 mai dernier. Ancien fonctionnaire de l’Unesco, un hommage poignant lui était rendu par ses pairs le 5 juillet au siège de cette institution. A cette occasion, le Cercle Guimard a pu témoigner de sa générosité, de ses qualités humaines et de son engagement pour l’Art nouveau.
L’histoire avec Arthur commence, à Paris, un jour d’été, à la terrasse du Café Antoine, au 17 de la rue Jean de La Fontaine, voilà plus d’une dizaine d’années… le Cercle Guimard venait juste d’être formé. Ancien rédacteur en chef du Museum international Magazine (revue publiée par l’Unesco), coordinateur du « World Project on Art Nouveau Architecture » [1988-1991], il apporta immédiatement un souffle international lors des discussions du Cercle sur l’Art nouveau. Très tôt, il se proposa de mettre l’association en relation avec les différentes institutions européennes.
Né aux Etats-Unis, passionné par l’apprentissage des langues, ce polyglotte tourné vers l’autre, a épaulé le Cercle Guimard dans toutes ses démarches à étranger. En 2006, il participait au premier numéro du « journal du Cercle », publié pour accompagner l’exposition « Le Style Guimard. Album d’un collectionneur », présentée tout l’été à l’hôtel Mezzara. Il fut aussi le concepteur d’un rallye autour des œuvres d’Hector Guimard qu’il anima durant l’été 2007.
Arthur Gillette appréciait l’Art nouveau pour ce mélange de cultures locales et de concepts modernes favorisant l’éclosion d’une architecture protéiforme propre à chaque nation. La diversité ! L’idée de l’« Art dans tout » et « pour tous » le séduisait… Le Cercle partageait avec lui le constat du manque de reconnaissance du travail d’Hector Guimard ; déjà nous militions de concert pour la création du musée Guimard à Paris !
LE PROJET MEZZARA
J’ai personnellement découvert Arthur encore davantage, il y a un an…
Je lui faisais part du projet « fou » d’acquérir l’hôtel Mezzara. Le Cercle venait d’apprendre la prochaine mise en vente de cet hôtel signé par Hector Guimard… Le but était de doter Paris d’un lieu dédié à l’Art nouveau et ouvert au public. L’adhésion d’Arthur à ce rêve fut immédiate. Lorsque vous ne partez de rien, quel acte très appréciable que l’adhésion !
Avec efficacité, persévérance et initiative, Arthur prit en charge la communication du projet auprès de toutes les fondations et partit à la recherche de financement. Ce travail de fond a permis de faire connaître le projet Mezzara. Il a envoyé des centaines de mails, en français, en anglais, en espagnol… Je l’ai rencontré une nouvelle fois à la fin de 2015. Il m’attendait à la gare Montparnasse. Je découvrais alors sa grande faiblesse ; et pourtant, elle ne transparaissait pas le moins du monde dans nos échanges de mails…
Arthur Gillette nous a quitté avant le dénouement de cette aventure. Sa place parmi les artisans de ce projet reste éternellement acquise, très précieuse.
Au nom du Cercle, notre ami, je te remercie.
Bye-bye Arthur,
Nicolas H.
Le Cercle Guimard propose une visite commentée sur l’Art nouveau, samedi 15 octobre 2016 à partir de 15h. Durée : environ 2h. Prévoir un déplacement en transport en commun.
Ce parcours sera l’occasion de comparer et tisser des liens entre les deux architectes lyonnais et figures de l’Art nouveau parisien, Jules Lavirotte et Hector Guimard. Nous profiterons de notre parcours pour nous intéresser également à Henri Sauvage, Octave Raquin et Léon Bénouville contemporains de Guimard.
Nous commencerons dans le 7e arrondissement par la Maison des Arums ; trois édifices de Lavirotte dont le célèbre immeuble avenue Rapp. Enfin, dans le 16e arrondissement, le Métro Porte Dauphine, l’immeuble de Bénouville ; la Cité de l’Argentine ; la Salle Humbert de Romans (détruite) ; et pour finir le groupe d’immeuble de Guimard, rue Greuze.
Chers adhérents et futurs adhérents,
Le bureau du Cercle Guimard tient à remercier nos adhérents fidèles depuis plusieurs années et aussi tous les nouveaux adhérents qui nous ont apporté leur soutien en grand nombre au cours de l’année 2016. En effet, à ce jour, nous avons dépassé les 160 adhérents avec une progression annuelle que nous n’avions jamais enregistrée auparavant.
Cette progression nous est d’un grand secours dans notre recherche du statut d’Association Reconnue d’Utilité Publique.
Pour confirmer cette dynamique et comme nous le faisions de manière officieuse les années précédentes,
les adhésions reçues à partir du 1er septembre 2016 donneront lieu à une adhésion prolongée sur l’année 2017.
Un grand merci et une bonne rentrée à toutes et à tous.
Le bureau du « Cercle Guimard » a convoqué une Assemblée Générale Extraordinaire de l’association, organisée conformément à l’article 11 de son règlement intérieur.
Elle ne sera ouverte qu’aux adhérents à jour de leur cotisation. Les adhérents absents peuvent donner leur pouvoir. Télécharger le pouvoir et le renvoyer (mail ou courrier postal) avant le 4 juin : Version word ou Version PDF
Elle se tiendra le samedi 4 juin 2016, de 10 h 30 à 12 h 30 dans la salle Marie de Régnier de la mairie du XVIe arrondissement, 71 avenue Henri Martin 75016 Paris.
Cette Assemblée Générale Extraordinaire, qui suit de peu notre dernière Assemblée Générale Ordinaire, est rendue nécessaire par notre volonté de modifier nos statuts afin de pouvoir obtenir la reconnaissance d’utilité publique (Association RUP). Cette reconnaissance nous est indispensable pour que nous puissions jouer un rôle décisif dans l’avenir de l’Hôtel Mezzara d’Hector Guimard.
À l’ordre du jour :
Une petite conférence sur l’Album du Castel Béranger sera également présentée.
L’Assemblée Générale de notre association s’est tenue le 19 mars 2016 de 10 h à 12 h chez Maxim’s, au premier étage dans le petit théâtre, grâce à l’aimable invitation de M. Pierre-André Hélène, conservateur du Musée Art Nouveau Maxim’s (3 rue Royale, Paris 8ème).
Pendant ce temps, une équipe de tournage composée d’étudiants en BTS audiovisuel de l’ISA, qui nous avait contactés pour l’aider à réaliser son diplôme de fin d’année sous la forme d’un reportage sur l’Art nouveau, tournait des interviews dans l’immeuble.
Après une allocution de bienvenue de M. Hélène au cours de laquelle étaient projetées des vues anciennes de Maxim’s (cf. illustrations ci-dessous), Jean-Pierre Lyonnet, président de l’association, souhaitait la bienvenue aux participants et ouvrait l’Assemblée Générale.
Un bref rapport financier (approuvé à l’unanimité des votants) montrait la bonne santé de l’association, grâce aux rentrées dues à l’augmentation du nombre des adhérents et aux ventes de rééditions de chiffres et de poignées.
Un point sur les travaux universitaires en cours était consacré au Master II en histoire de l’art que Frédéric Descouturelle a soutenu en septembre 2015 sur les Fontes ornementales de l’architecte Hector Guimard produites à la fonderie de Saint-Dizier sous la direction de Jean-François Belhoste à l’Ecole Pratique des Hautes Études. Notre trésorier poursuit son cycle universitaire avec un doctorat en histoire de l’art consacré aux Editions d’objets du décor architectural et de préfabrications par l’architecte Hector Guimard avec le même directeur de recherches.
Cette évocation des fontes ornementales de Guimard était l’occasion de montrer la couverture d’un catalogue de fontes Guimard récemment acquis, d’un modèle moins courant que ceux habituellement connus.
Nous avons évoqué le Monument du Souvenir Français figurant dans ce catalogue de fontes « Style Guimard » grâce à la découverte d’un document ancien le présentant dans son cadre originel au parc du Petit Jard à Saint-Dizier à proximité d’un banc en fonte Guimard du modèle GO. Ce monument en fonte qui a disparu certainement lors de la première guerre mondiale (renseignement fourni par l’association du Souvenir Français) change donc de statut dans l’œuvre de Guimard : il passe de projet à réalisation. De plus nous venons d’apprendre que son contre-modèle (en deux parties articulées) se trouve aux Etats-Unis.
Le chapitre des visites de quartier était commenté par Agathe Bigand-Marion. Depuis plus d’un an, elle guide avec succès nos deux circuits pédestres dans le XVIe arrondissement. L’un des deux parcours, effectué à partir du Castel Béranger permet de découvrir une sélection représentative de la période Art Nouveau et de la période tardive de Guimard. L’autre parcours, plus au sud, permet de découvrir d’autres bâtiments dont certains sont antérieurs à la période Art nouveau.
Le Cercle Guimard s’est donné pour vocation de s’impliquer dans la protection des œuvres de Guimard qui peuvent être menacées. Nicolas Horiot présentait donc l’état des démarches en cours pour La Sapinière à Hermanville sur la côte normande. Grâce aux recherches effectuées, la date de construction a pu être précisée (1907). Sur une proposition du Cercle Guimard et sur une implication irréprochable de la DRAC de Basse-Normandie, l’édifice a été inscrit le 25 novembre 2015 à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (ISMH).
La menace pesant sur les espaces intérieurs du 8 rue Agar nous a été signalée par une habitante de l’immeuble. Au contraire du 10 rue Agar dont la rampe en fontes Guimard a été démontée et les marches recoupées pour faire place à un ascenseur, le 8 rue Agar possède encore sa cage d’escalier originelle sans ascenseur. Mais à la demande de certains propriétaires, le même processus risque de se répéter ici. Le revêtement mural originel en faux jointoyage, actuellement dissimulé sous la peinture, ainsi que les verres imprimés « Guimard » des fenêtres risquent également d’être impactés par ce projet. Une demande d’extension à la cage d’escalier de l’inscription à l’ISMH peut être déposée par le Cercle Guimard.
Une annexe de l’immeuble Jassedé du 1 rue Lancret est également concernée par un projet de démolition. Cet immeuble est adjacent à celui du 142 avenue de Versailles qui est plus connu.
Le projet de transformation concerne le fond de la « cour des miracles » (actuellement villa Alexandre Tansman), originellement constitué par une remise qui a servi de garage automobile (sa double porte de droite est d’origine).
Le projet consiste à démolir cette remise et à reconstruire à la place une petite habitation. Notre documentation iconographique permettait de préciser la configuration ancienne de cet emplacement ainsi que son attachement au lot constitué par les « immeubles Jassédé ». Une copropiétaire de l’immeuble nous a alerté peu avant l’Assemblée Générale sur l’existence de ce projet et a été invitée à prendre la parole. Le Cercle Guimard soumettra prochainement ces nouvelles pièces d’archives au regard avisé de l’Architecte des Bâtiments de France.
Il est évident que les techniques de numérisation et de réalité augmentée prendront rapidement une part croissante dans la compréhension et la visite de bâtiments existants ou disparus. À l’occasion de son diplôme final d’architecture Nicolas Horiot a effectué la première numérisation d’un bâtiment de Guimard avec la Salle Humbert de Romans. Il poursuit actuellement l’amélioration de ce travail.
Comme nous l’indiquons régulièrement, le Cercle Guimard n’a pas pour vocation de faire la promotion du marché de l’Art et ne conduit pas d’expertises au sens légal du terme. Cependant, nous ne nous interdisons pas de donner un avis — fondé sur des archives et des publications anciennes — sur certains objets mis en vente, en particulier lorsque l’attribution à Guimard est sujette à caution. Olivier Pons illustrait ce point par quelques objets sur lesquels nous sommes intervenus. Le premier d’entre eux était le désormais fameux « demi-meuble Guimard » (ci-contre) constitué du tronçonnement dans le plan frontal d’un meuble de présentation qui se trouvait originellement dans le salon de l’Hôtel Guimard au 122 avenue Mozart.
Par ailleurs notre rubrique « Ceci n’est pas un Guimard », consultable sur notre site Internet, présente régulièrement des objets faussement attribués à Guimard.
Mais, en raison de son caractère exceptionnel et de son intérêt historique, la vente de la collection d’Yves Plantin en novembre 2015, nous a vu participer à l’élaboration de son catalogue. Comme on le sait, Yves Plantin a fait partie des redécouvreurs de Guimard à la fin des années soixante et a ainsi participé à la sauvegarde d’archives, d’objets d’art et de mobilier. Plusieurs articles de cette vente étaient successivement présentés : le cadre d’un tableau provenant de la famille Coilliot,
le numéro de maison en fonte de l’Hôtel Nozal, dont les traces bleues proviennent de sa mise en peinture pour les besoins du film Hectorologie d’Alain Blondel et Yves Plantin en 1967,
l’intérieur de cheminée en fonte et son manteau en marbre provenant du Castel Béranger, préemptés par le musée de Saint-Dizier,
une banquette provenant de l’aménagement de l’Hôtel Delfau en 1895,
des dessins de lustres, une croix funéraire en fonte et une paire de fauteuil de la Salle Humbert de Romans.
Après un rappel des rééditions actuellement vendues (chiffres en fontes et poignées en porcelaine) et dont les bénéfices ont une part non négligeable dans notre exercice financier, Frédéric Descouturelle présentait trois nouveaux projets de rééditions. Les deux premiers concernent des articles de quincaillerie avec les poignées palières du Castel Béranger et de l’Immeuble Jassedé qui seront rééditées en bronze sous forme de béquilles.
Les systèmes de crémones présents au Castel Béranger et au Castel Henriette originellement en fonte (ou en bronze pour la poignée) seront également rééditées entièrement en bronze.
Notre propos est de produire des pièces de belle qualité dans des matériaux nobles, tout en permettant l’identification rapide des produits en tant que rééditions (par exemple par un logo en creux) sans confusion possible avec des pièces anciennes. Nous aviserons nos adhérents de leur mise à disponibilité sur le site Internet dès que toutes les conditions requises auront été réunies.
La mise en route d’une réédition du papier peint des chambres à coucher du Castel Béranger se fera avec la collaboration de l’Atelier d’Offard à Tours, l’un des rares à pratiquer l’impression à la planche, technique employée originellement pour les papiers peints de Guimard.
Sur une couleur de fond préalablement passée sur le papier, chaque couleur est successivement tamponnée par une planche gravée. Cette technique, plus prestigieuse parce que totalement artisanale, permet de retrouver une qualité tactile et visuelle qui n’existe plus avec l’impression au cylindre, plus industrielle.
Afin de retrouver le dessin original, il a fallu interpréter les reproductions de lés originaux en tenant compte des modifications engendrées par l’application de la couleur. Ce travail a été confié à un jeune graphiste, Alexis Lucas, qui s’est parfaitement acquitté de sa tâche.
Un tout premier lé, expédié quelques jours plus tôt par l’Atelier d’Offard a pu être présenté au public et passer de mains en mains. Il est bien entendu que les couleurs, actuellement trop franches, pourront être choisies plus précisément après étude.
Nous publierons bientôt un article abondamment illustré sur ce sujet.
Enfin Nicolas Horiot présentait le sujet d’actualité majeur : le projet que le Cercle Guimard nourrit à l’égard de l’Hôtel Mezzara. Les caractéristiques du lieu et l’opportunité d’en faire le représentant de l’Art nouveau parisien ouvert au public étaient détaillées, suscitant plusieurs questions dans le public et un intérêt évident. Actuellement nos démarches se poursuivent auprès de toutes les autorités concernées et nous tiendrons nos adhérents au courant de leur évolution. Le principe de la création d’une Fondation Guimard destinée à la gestion de ce lieu était approuvé à l’unanimité des votants.
L’Assemblée Générale pouvait se clore sur le renouvellement à l’unanimité des votants du Conseil d’Administration de l’association. Celui-ci comprend actuellement dix membres : Jean-Pierre Lyonnet, Nicolas Horiot, Dominique Magdelaine, Frédéric Descouturelle, Bruno Dupont, Olivier Pons, Agathe Bigand-Marion, Arnaud Rodriguez, Georges Vigne, Paul Smith.
En guise de conclusion, M. Pierre-André Hélène entraînait ensuite les participants dans une visite des salles du restaurant Maxim’s au rez-de-chaussée.
Après l’Assemblée Générale, le Conseil d’Administration a élu son bureau qui, conformément aux statuts, se compose :
du président : Jean-Pierre Lyonnet,
du vice-président : Nicolas Horiot,
du secrétaire : Dominique Magdelaine,
du trésorier : Frédéric Descouturelle.
Conformément à l’article 11 de son règlement intérieur, le Cercle Guimard organise son Assemblée Générale Ordinaire et Extraordinaire le samedi 19 mars 2016, de 10h à 12h dans un salon aimablement prêté par Maxim’s, 3 rue Royale, 75008 Paris.
À l’ordre du jour : bilan moral et bilan financier, ainsi que le renouvellement des membres du Conseil d’Administration.
Le bilan des activités de l’association mettra l’accent sur les publications régulières parues sur notre site internet ; sur les travaux universitaires passés et en cours et sur l’organisation des visites du quartier d’Auteuil qui ont été mises sur pied avec un bon succès.
Nous évoquerons les expertises réalisées par les membres de notre association, directement sur notre site Internet et aussi de façon exceptionnelle pour l’établissement du catalogue de la vente Plantin des 22 et 23 novembre 2015 ;
et l’inscription à l’ISMH (Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques) de la Sapinière, obtenue sous l’impulsion du Cercle Guimard.
Plusieurs projets seront présentés, notamment la réalisation en cours d’une modélisation du pavillon du métro de la place de la Bastille en partenariat avec un groupe de jeunes américains.
Plusieurs projets de réédition sont également en cours :
des poignées palières en bronze du Castel Béranger sous forme de béquilles, ainsi que du système de crémone des fenêtres ;
et le papier peint des chambres à coucher du Castel Béranger.
La communication la plus importante concernera bien-sûr l’avenir de l’hôtel Mezzara. Le Cercle Guimard se mobilise depuis plusieurs mois pour que ce lieu exceptionnel reste ouvert et devienne la vitrine du Style Guimard à Paris. Il sera demandé à l’Assemblée Générale l’approbation de la création de la Fondation Guimard indispensable à la poursuite de nos démarches.
Cette Assemblée Générale est ouverte à tous nos sympathisants, mais seuls les adhérents à jour de cotisation 2016 pourrons voter. (En cas d’absence, les adhérents peuvent donner leur pouvoir pour le vote – télécharger le document)
Nous vous espérons nombreux pour cette réunion qui sera, comme à chaque fois, l’occasion d’informations inédites mais aussi d’échanges.
Le bureau du Cercle Guimard
Vous pouvez recevoir les objets par colis ou vous déplacer au domicile de Frédéric Descouturelle, secrétaire de l'association.
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Prix du transport en sus.
Actuellement, seul le règlement par chèque est possible. Les chèques seront à libeller au nom de : « Le Cercle Guimard ».
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Se déplacer au domicile de notre trésorier, à Montreuil (métro Robespierre).
Vous pouvez prendre rendez-vous par courriel pour venir un vendredi après-midi ou un samedi matin. Dans ce cas, le règlement en espèces est possible.
Vous pouvez réaliser un règlement unique comprenant l’achat et la cotisation.