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Category: Nos conseils

Nouvelle page : La bibliographie ancienne de Guimard

12 novembre 2014

Titulaire d’un Master II en Histoire et Critique des Arts, de l’Université Rennes II, Agathe Bigand-Marion a consacré ses deux années de recherches (2012-2013) à la réalisation d’un mémoire intitulé Étude de la réception d’Hector Guimard dans les critiques de l’époque – 1885 à 1945.

Elle avait présenté ce mémoire lors de notre Assemblée générale de janvier 2014.

Vous retrouverez la présentation de ce travail dans notre rubrique « Le Cercle Guimard aide les étudiants » : La-bibliographie-ancienne-de-guimard/

Le Cercle Guimard sollicité par Fèvres magazine

2 août 2014

Fèvres magazine est une belle revue destinée aux professionnels et publiée par l’IFRAM (l’Institut de Recherche et de Formation pour les Artisanats des Métaux, labellisé Pôle National d’Innovation pour l’Artisanat des Métaux depuis 2003). Son rédacteur en chef nous a contacté il y a quelques mois pour nous demander de rédiger un article sur Guimard et le fer, ce que nous avons accepté d’emblée.

L’article s’insère dans un dossier spécial L’Art nouveau et la ferronnerie qui fait la couverture du numéro 50. Il est en l’excellente compagnie d’autres articles de Patrick Centenero, ferronnier d’art français, du catalan Luis Gueilburt (La part du fer dans l’œuvre d’Antoni Gaudí), de notre amie Françoise Aubry, conservatrice du musée Horta (Victor Horta « Ne prendre pour guide que la raison »), de Jacques G. Peiffer, bien connu pour ses travaux sur la céramique (Le fer au cœur de l’École de Nancy), du ferronnier bruxellois Steve Sergysels (Art nouveau : la ligne belge) et du ferronnier et rampiste français Stephan Poirier.

Notre propre article (Hector Guimard et le fer : inventivité et économie) est illustré de belles photos provenant de notre groupe. Nous avons décidé de nous passer des adjectifs superlatifs que l’on emploie parfois sans mesure pour tenter de cerner au plus près la pratique de Guimard vis-à-vis de la ferronnerie. On discerne déjà sur l’Hôtel Louis Jassedé les prémices d’une utilisation très particulière des fers industriels qui éclot au Castel Béranger pour atteindre peu après une maturité qui fait de la ferronnerie de Guimard une exception, voire une incongruité dans la pratique des architectes français.

Grâce à l’amabilité de Fèvres, le pdf de notre article est à la disposition de nos visiteurs. Cependant, l’achat de la revue papier dans son entier devrait encore leur réserver de belles surprises…

Hector Guimard et le fer : inventivité et économie

 

Frédéric Descouturelle

Nouvelle rubrique : Le Cercle Guimard aide les étudiants

28 juillet 2014

De temps à autre, Le Cercle Guimard apporte son aide et ses conseils aux lycéens et étudiants qui le sollicitent. Une nouvelle rubrique vous propose de courts résumés de travaux réalisés avec notre concours.

En apportant un éclairage neuf, un angle souvent très spécialisé, une méthodologie qui n’est pas la nôtre et de nouvelles informations, ces textes contribuent à améliorer encore la connaissance et la compréhension de l’œuvre de Guimard. Aussi nous remercions vivement ces étudiants qui ont consacré un peu de leur temps à partager avec nous leur travail.

Deux travaux sont d’ores et déjà en ligne :

– Étude de la station Abbesses :
Par Émilie Dominey, étudiante en première année à l’École du Louvre ; 2014.

– Le Droit d’auteur dans le métro :
Par Alexis Auzépy, étudiant en Master II de droit de la propriété littéraire artistique et industrielle à l’université Paris II Panthéon – Assas ; 2014.

Nouvelle rubrique : ceci n’est pas un Guimard

12 août 2013

Régulièrement, nous sommes sollicités pour identifier un objet que son propriétaire pense être de Guimard. Souvent, il l’a acheté — parfois cher — pour tel et il attend de notre part plus une confirmation qu’un verdict contraire. Lorsque que les connaissances que nous pouvons avoir sur l’œuvre d’Hector Guimard et/ou sur l’objet en question nous obligent à lui dénier toute filiation avec Guimard, les réactions de notre correspondant ne sont pas toujours empreintes de philosophie, surtout si une revente à court terme était envisagée.

Pour ne pas avoir à réitérer notre argumentaire et renseigner le public tenté par un achat à la notice par trop flatteuse, nous publierons de temps à autre notre sentiment sur tel ou tel objet. Aucun d’entre nous n’a d’intérêts dans les différentes branches du marché de l’art. Aussi nous ne nous soucions nullement des notices qu’ont pu précédemment écrire les experts des différentes maisons de vente aux enchères : notre avis n’engage que nous et nous n’hésiterons pas à le modifier en fonction des éléments historiques qui pourraient se présenter à l’avenir.

Retrouvez cette rubrique dans nos recherches.

Guimard - métro

L’entourage de la station George V

1 août 2010

Comme le savent les connaisseurs des ouvrages du métro de Guimard, l’entourage de la station George V se trouve aujourd’hui, démonté, au sein des réserves municipales de la ville de Nogent-sur-Marne.

Station Alma - 1900

La station Alma en 1900

Cette station est ouverte à l’exploitation le 13 août 1900 et s’appelle alors station de l’Alma. Implantée du côté des numéros impairs de l’avenue des Champs-Elysées, elle fait partie du premier chantier du métro, ouvert entre le 19 juillet et le 13 décembre 1900, qui comprend la ligne 1 ainsi que les deux petits tronçons des futures lignes 2 et 6. Parmi ses ouvrages d’entrée et de sortie, tous confiés à Hector Guimard, on compte 12 entourages découverts à écussons (par opposition aux édicules A et B et aux pavillons de places de l’Etoile et de la Bastille). En octobre 1900, au sein d’un article de la revue l’Art Décoratif, l’entourage de la station Avenue de l’Alma bénéficie d’une belle reproduction photographique où l’on voit son portique provisoire en bois. Les portiques définitifs ne seront en effet mis en place que dans le courant de l’année 1901.

Ces entourages découverts sont eux-mêmes de deux types : à fond carré (comme les édicules A) ou à fond arrondi (comme les édicules B). Dans le cas de la station de la rue de l’Alma, il s’agit d’un fond arrondi. C’est précisément ce modèle qui sera repris pour les entourages des stations des sections souterraines de la ligne 2 que Guimard supervisera de façon partielle avant de rompre son contrat avec la CMP.

Pour assurer la fonction de signalisation, Guimard dote ces entourages d’un élégant portique formé de deux candélabres réunis en hauteur par deux pièces de fonte où s’insère l’enseigne en pierre de lave émaillée recto-verso. La plupart des entourages découverts – qu’ils soient à fond arrondi ou à fond carré – ont une largeur de trémie de trois mètres qui détermine ainsi la taille des pièces en fonte du porte-enseigne, mais aussi de la largeur de l’enseigne et le type du graphisme. Car dans le cas d’une largeur plus importante (3,50 m à Palais Royal), Guimard crée une enseigne un peu plus large dont le graphisme est différent. Pour la station de l’Avenue de l’Alma, il s’agit du modèle que nous avons appelé « entourage grand A » employé pour une trémie de 3 mètres. Cette enseigne est signée « Hector Guimard Archte », de la même manière que le sont les autres enseignes de ce premier chantier.

Rebaptisée « George V » en 1920 en l’honneur du souverain britannique, la station semble avoir subi peu de changements, hormis la perte de ses verrines originales (globes rouges d’éclairage), jusqu’au démontage de son entourage en 1974. Avant cette époque, la RATP avait l’habitude de « cannibaliser » ses entourages Guimard, c’est-à-dire d’en récupérer les pièces et de les stocker (sans mention de leur station d’origine) pour les réutiliser sur un autre entourage en cas de bris de pièce. Elles ont aussi servi à reconstituer des entourages plus ou moins complets donnés à des musées ou à des institutions. Mais dans les années 70, sensible au changement de perception dont l’Art nouveau fait l’objet, et antérieurement à l’inscription à l’inventaire des monuments historiques de 1978 de la totalité des ouvrages Guimard subsistants, la RATP va préférer, lorsque des travaux d’infrastructures ou de voirie l’imposeront, déplacer les entourages Guimard sur d’autres sites. Parallèlement, en 1974, le maire de Nogent-sur-Marne, dans une démarche patrimoniale du même genre que celle qui lui avait fait récupérer un pavillon des halles de Baltard, acquiert l’entourage de la station George V. Depuis lors, ce dernier est simplement placé en réserve, en pièces détachées.

Entourage Guimard, musée de Toledo

Entourage Guimard au Toledo Museum of Art

Il semble qu’il puisse à présent être prochainement remonté pour être présenté au public. En l’absence de station de métro à Nogent (à ne pas confondre avec une gare du RER), il nous semble que l’entourage pourrait faire l’objet d’une présentation similaire à celle adoptée dans deux musées américains (à la National Gallery of Art de Washington et au Toledo Museum of Art), c’est à dire d’une implantation en extérieur, sur une surface où la trémie est simplement esquissée, ce qui permettrait au public d’en apprécier de près et sans danger les qualités à la fois décoratives et structurelles.

Sachant qu’il reste à Paris soixante entourages Guimard découverts à écussons, dont une bonne proportion sont à fond arrondi, quel est pour l’historien, l’intérêt primordial de l’entourage George V ? Il s’agit bien du seul entourage à écussons à fond rond et à largeur de trémie de 3 mètres subsistant du premier chantier du métro en 1900, dont nous savons qu’Hector Guimard a supervisé l’installation. S’il est possible que certaines pièces de fonte aient été remplacées au cours des sept décennies de son existence parisienne, il est en revanche presque certain que cet entourage n’a pas reçu de fontes réalisées par surmoulage par la fonderie GHM, qui sont apparues sans doute à partir de 1976. Il n’a pas non plus été touché par les grandes restaurations de 1998-2002 au cours desquelles beaucoup de pièces ont été restaurées ou remplacées. Il sera en particulier intéressant de vérifier notre hypothèse de l’existence de deux types de cintrages pour les écussons du fond arrondi.

Frédéric Descouturelle,
avec la collaboration d’André Mignard

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